Ces pages regroupent un ensemble d’études qui éclairent des aspects laissés dans l’ombre des rapports entre langage et pouvoir à l’âge classique. Elles révèlent un langage qui est puissance de l’union de l’âme ballottée entre l’idée claire et distincte et l’imagination, puissance constitutive de l’espace public et non simple police des âmes par le pouvoir, chair et sang enfin du mouvement par lequel la pensée humaine tente de s’approcher d’une infinité divine qui la dépasse.