C’est en 1988 que je fis la connaissance de John Bennett, à Glasgow. Le fonds des manuscrits une fois constitué après le legs au CNRS et la mort d’Aragon, il s’agissait de créer les meilleures conditions de son exploitation scientifique. Après la mise en place de l’équipe française des chercheurs, deux priorités avaient été retenues, l’établissement d’une antenne russe pour des raisons évidentes, familiales notamment – il permit, non sans mal, la publication de la correspondance Elsa – Lili – et l’établissement d’une antenne britannique.